Samedi, en marge de l’inauguration d’une maison d’arrêt dans la Sarthe, François Fillon a jugé nécessaire de «repenser» la garde à vue, notamment «ses conditions d’utilisation et son utilité».
Effet collatéral du placement en garde à vue de l’avocate Caroline Wassermann au commissariat de Meaux (Seine-et-Marne), victime d’un «traitement inhumain et dégradant», selon le bâtonnier de l’Ordre des avocats de Paris, Me Christian Charrière-Bournazel.
Cette affaire est venue une nouvelle fois poser la question des abus d’utilisation de cette procédure par la police. Pour le Premier ministre, la garde à vue ne doit pas être envisagée comme «un élément de routine» et a besoin d’être «encadrée et justifié». François Fillon a reconnu des «abus» et des «gardes à vue non indispensables».
Effet collatéral du placement en garde à vue de l’avocate Caroline Wassermann au commissariat de Meaux (Seine-et-Marne), victime d’un «traitement inhumain et dégradant», selon le bâtonnier de l’Ordre des avocats de Paris, Me Christian Charrière-Bournazel.
Cette affaire est venue une nouvelle fois poser la question des abus d’utilisation de cette procédure par la police. Pour le Premier ministre, la garde à vue ne doit pas être envisagée comme «un élément de routine» et a besoin d’être «encadrée et justifié». François Fillon a reconnu des «abus» et des «gardes à vue non indispensables».