Le 16 Février 2009, en plein conflit, 10 membres du LKP sont interpellés et placés en garde à vue pour "entrave à la circulation et violence avec arme à l’encontre des représentants des forces de l’ordre" et "et de "refus d’obtempérer à la prise d’empreinte digitale"[*]
Sur les 10 , seules 3 ont pu être identifiées et ont donc été convoquées jeudi 07/01/2010 devant le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre.
Les avocats de la défense ont mis en avant des procédures dépourvues de fondements juridiques et qui s’apparentent plus à de la répression syndicale.
Arguments retenus par la juridiction qui décide de relaxer les 3 prévenus. Aucun fait reproché n’a été retenu contre eux[*]
Sur les 10 , seules 3 ont pu être identifiées et ont donc été convoquées jeudi 07/01/2010 devant le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre.
Les avocats de la défense ont mis en avant des procédures dépourvues de fondements juridiques et qui s’apparentent plus à de la répression syndicale.
Arguments retenus par la juridiction qui décide de relaxer les 3 prévenus. Aucun fait reproché n’a été retenu contre eux[*]