Au cours d'un comité d'entreprise extraordinaire, les syndicats se sont étonnés de l'apparition dans le projet d'une « annualisation (1 607 heures) du temps de travail ».
« On nous prend pour des gogos » a annoncé, très déçu, le délégué de la CFDT après ce « rebondissement »Thierry Stachel (CFTC) parle de « tromperie » :
« Les conditions de la direction deviennent de plus en plus drastiques et c'est à se demander si elle souhaite réellement maintenir le site en activité », s'inquiète ce syndicat[°0]»