Pour les dirigeants d'Olympia, la décision est "surréaliste" : le fabricant français de chaussettes a été condamné en fin de semaine dernière par la cour d'appel de Reims à verser 2,5 millions d'euros à quarante-sept salariés licenciés, pour ne pas leur avoir proposé un reclassement en Roumanie.
Lundi 18 mai, la présidente d'Olympia a estimé que la condamnation "pourrait signer l'arrêt de mort de l'entreprise". Sonnée, Catherine Rambaud dénonce surtout ce qu'elle perçoit comme une injustice.
Selon elle, la direction s'est refusée, "en plein accord avec le comité d'entreprise", à proposer "des reclassements indignes dans son usine de Roumanie au salaire de 110 euros par mois"...Lire la suite sur le Monde.fr
(NDLR : Un salarié roumain, lui , ne touche donc que 110 euros par mois...)
Lundi 18 mai, la présidente d'Olympia a estimé que la condamnation "pourrait signer l'arrêt de mort de l'entreprise". Sonnée, Catherine Rambaud dénonce surtout ce qu'elle perçoit comme une injustice.
Selon elle, la direction s'est refusée, "en plein accord avec le comité d'entreprise", à proposer "des reclassements indignes dans son usine de Roumanie au salaire de 110 euros par mois"...Lire la suite sur le Monde.fr
(NDLR : Un salarié roumain, lui , ne touche donc que 110 euros par mois...)